(éditorial de Pour le communisme ! septembre / octobre)
Le travailleur, la travailleuse n’est pas uniquement esclave de l’employeur dans l’entreprise : lorsqu’il ou elle en sort, c’est le marchand, le propriétaire et le banquier qui prennent le relais. Qu’importent les visages qu’ils prennent, ce qui distingue les riches et les capitalistes, c’est leur monopole privatif sur tout ce qui est nécessaire à la vie : nourriture, logement, moyens de communication, matières premières ou transformées, liquidités en argent. Le droit sanctionne cette situation : sous le masque de l’ « égalité », il légalise l’impôt privé, l’extorsion savamment organisée de notre sève vitale, jour après jour.…
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