Retour sur la situation au Liban avec Joseph DAHER

L’Union Pour le Communisme souhaite exprimer sa plus profonde solidarité avec le peuple libanais victime de la barbarie capitaliste dans ces expressions brutales que sont le régime confessionnel libanais, la catastrophe de l’explosion de Beyrouth et la dramatique crise économique qui touche le prolétariat et les classes moyennes libanaises. Nous nous sentons solidaires des manifestations des travailleur.es de ces dernières semaines, qui affrontent courageusement les forces corrompus du régime et nous espérons qu’elles auront la plus ample résonance révolutionnaire. Nous donnons la parole à Joseph DAHER (auteur de l’ouvrage « Le Hezbollah : un fondamentalisme religieux à l’épreuve du néolibéralisme« , édition Syllepse) pour bénéficier des éclairages nécessaires à la compréhension de la situation localement.… Lire la suite

Solidarité avec les grévistes de l’Hôtel Holiday Inn de la Porte de Clichy (Paris)

Les salarié·e·s chargé·e·s du nettoyage de l’hôtel Holiday Inn de la Porte de Clichy en région parisienne sont en grève depuis le 19 octobre dernier, avec leur syndicat CNT-SO et soutenu.e.s par la CGT HPE. Elles réclament entre autre la fin de la répression syndicale, le paiement des heures effectivement travaillées, et leur internalisation, pour sortir des griffes du sous-traitant Héméra qui ne respecte ni les droits légaux ni les salariés. Ces travailleuses, précaires, issues le plus souvent de l’immigration, sont parmi les premières victimes de l’offensive patronale en cours contre les conditions de vie et de travail de tous et toutes.Les… Lire la suite

Saint-Étienne : une manifestation réussie…mais une grève à construire

La manifestation de ce mardi 10 octobre à Saint-Étienne a rassemblé 7000 personnes, soit plus que lors des deux journées d’action du mois de septembre contre la loi travail XXL. L’appel syndical a été très suivi dans la fonction publique, et la colère grandit contre les mesures vexatoires prises par le gouvernement. Mais la journée ne saurait se résumer à un mouvement concernant les seul·e·s travailleur/ses du public : la solidarité public-privé, la loi travail ou encore la politique fiscale au service de la bourgeoisie étaient particulièrement présents dans les mots d’ordre comme dans les discussions. La présence d’un cortège d’une centaine d’étudiant·e·s et de travailleur/ses précaires, si elle ne marque pas encore une entrée en masse de ces catégories dans le mouvement, montrait qu’il ne saurait pour beaucoup être question de réduire la grève à la question des baisses de salaire en cours dans la fonction publique.… Lire la suite